De quelle décadence parle-t-on ?
En ce qui concerne la France, l’Occident, l’Europe ou une autre entité à majuscules, attendons 100 ans avant d’en reparler sérieusement.
Histoire de jouer les provocateurs, je demande à l’auteur qui nous explique que nous sommes en décadence parce que les services publics ont été privatisés s’il n’est pas en fait en train de projeter sur le monde un déclin beaucoup moins contestable : celui des idées de la gauche « vieille école » (la gauche antilibérale, pas la gauche « moderne »).