Excellent papier, Fredon.
Rien à ajouter aux précédents commentaires, on fonce dans le mur en klaxonnant comme disait naguère De Villers dans un autre contexte.
Mais aujourd’hui, c’est devenu une telle évidence que la passivité de la population devant l’incurie du pouvoir (ou pire sa complicité avec les profiteurs du système) est quasiment suicidaire.