Pourquoi donc une révolution ?
Une forte implication politique et syndicale donnerait tout autant de moyens.
Il est évident et j’en conviens qu’elles ont gagné quelques batailles mais ce ne sont que des gouttes d’eau et qui plus est non définitives, rien n’est inscrit dans le marbre.
Si la contraception ou l’avortement sont des avancées majeures, elles n’ont pas grand force en cas de remise en question, ce qui est d’ailleurs le cas.
Je crois plutôt que c’est de s’être dispersé qui repousse aux calendes grecques toute avancée sociale.