@ geo63
Merci,
Ce qui me plait chez cette femme, c’est son enthousiasme juvénile, cette propension au merveilleux.
« L’esprit américain » est formellement plus ludique, que « l’idée » que je me fais de celui des scientifiques français. D’un point de vue graphologique, ça me vient à l’esprit, l’écriture des scientifiques américains est plus portée à l’extraversion, à la gestuelle expressive, aux prolongements, aux excès, aux débordements, à la familiarité. Nos scientifiques sont plus introvertis, plus contrôlés, moins expansifs et familiers...pourquoi je vous dis ça ? je ne le sais.
Gilles de Gêne était merveilleusement ouvert, simple et très pédagogue, l’exception qui confirme la règle. Je le regrette beaucoup.