En effet, les enfants sont paumés et l’on constate de plus en plus les ravages de cette destructuration : absentéisme scolaire, violence inouïe dès la primaire, délinquance, alcool et drogues.
On oublie dans cet article de pointer les fameuse mères célibataires dont les enfants n’ont pas de père connu ou reconnu et absents des femmes inconscientes et irresponsables qui vivent des minimas sociaux ayant aussi ratées l’école et l’insertion professionnelle et qui se révèlent incapables d’éduquer correctement leur progéniture (plus de 2 millions d’enfants pauvres en France et 300 000 sont placés par l’Etat !
Il est urgent de stopper la politique nataliste sans contrainte, sans devoirs qui déresponsabilise en créant un assistanat malsain
Il est urgent de revoir le « modèle » parental. Le droit à l’enfant est inique s’il n’est pas contraint à un engagement des adultes qui l’on conçu aux devoirs parentaux jusqu’à sa majorité !
C’est l’enfant qui a des droits ! Le premier des droits, ne pas être né dans la pauvreté financière et/ou intellectuelle pour satisfaire l’égo, les névroses d’une mère instable émotionnellement et non autonome financièrement.