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njama njama 14 novembre 2009 23:21

Le principe dit de précaution (auquel je préfère celui de prévention) implique aussi celui de se sentir responsable de vie d’autrui.

Se faire vacciner, c’est choisir entre deux risques.
Par principe de précaution, par manque de transparence dans cette abracadabrante folie ubuesque autour de cette grippette, et par solidarité humaine et citoyenne avec tous les accidentés des vaccins (autismes, morts subites de nourrissons, fibromyalgies, syndrome de Guillain... et autre séquelles neurologiques..), je choisirai de ne pas me faire vacciné.
C’est de toute façon mon droit le plus absolu, même en cas de vaccination « dite obligatoire », car cet acte médical ne pourrait se faire sans les incontournables règles éthiques et déontologiques, comme sans mon incontournable consentement .
Il faut traduire « vaccination obligatoire » par « obligation de recevoir une proposition de vaccination », et refus de vaccination, par refus de cette offre (administrative). L’acte de vaccination est parfaitement libre d’obligation d’un point de vue médical, puisqu’il suppose le consentement du patient. Politique et médical sont deux mondes distincts. La politique de santé publique est d’organiser les moyens, pas de prescrire, enfin jusqu’à présent, et les médecins, s’ils sont citoyens comme tout un chacun, ne sont pas des préposés aux ordres de la République.


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