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En réponse à :


dup 17 novembre 2009 14:24

fabuleux ! merci Monsieur Hillard . comme lui je pense que les carrottes sont cuites. L’arrogance et la puissance , le mépris et le sentiment d’impunité est tel chez ces leader de M...e que l’on peut rien faire. Je ne sais pas ce qui les motive à faire un travail que PERSONNE leur a demandé. Ou plutôt je pense que leur volonté est purement luciferienne ,car l’argent et le pouvoir ils l’ont déjà. La catastrophe doit arriver , plus vite ça vient moins douloureuse sera la chute .L’echec de ce projet babylonnien est evident. On unit pas les peuples comme on pile des marrons dans une casserole. Ils règneront sur des miradors et leur couronne sera un casque militaire. Ils devront se cacher pour claquer leur fric car ils seront en danger permanent. ils seront détéstés et leur empire un vaste soviet ,car les hommes auront pratiqué la démission interne comme du temps de staline. Des imbeciles qui se croient intelligeants. Mais ceux que l’on doit vigoureusement combattre sont les kapos sans lesquels rien peut se faire. Je veux parler de la presse et des medias qui occultent les sujet vitaux . Contre la promesse d’un plat de lentille les journaleux vendent leur âme et croient faire partie du pont de 1ere classe dans le bateau de sauvetage. Je pense que nous allons nous separer de cette ’humanité’ dans la vie future . On les regrettra pas

À propos d’une citation de John Swinton, (et non Swayton) ancien rédacteur en chef du New York Times, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880.

À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :

« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! » (Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)


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