sans la culture américaine on en serait encore a chier dans des latrines au fond du jardin....et encore ceci ne concerne que les heureux propriétaire de carrés de poireaux. Ceux qui n’ont pas cette n’aurait eu que la ressource de chier sur le pallier... comme le faisait nos ancétres les gaulois... du moins ceux qui habitaient des chambres de bonnes sous les combles