Hélas ! La manière dont la presse , la radio et la télévision française on ignoré ou biaisé l’information sur le climategate, et leur dithyrambique éloge du sommet climatique constitue une démonstration flagrante de ce que je démontre au troisième chapitre de la Servitude Climatique : les médias ne sont pas libres ! Ils ont cessé de faire de l’information pour se plier à une stratégie marketing aux origines opaques, qui visent à soutenir les politiques climatiques désastreuses de nos gouvernants et le business des affairistes et des vendeurs de VERT.