Pour ne réagir qu’à votre dernière phrase, je trouve de plus en plus absurde la course à la longévité.
Quand on voit dans quelles conditions finissent bon nombre de nos vieux dans nos usines à mourir, j’ai du mal à y voir une avancée de notre civilisation.
Pour ma part, j’ai une nette préférence pour l’option « bref mais intense ».
Mais là se pose inévitablement le problème de l’usage du bouton rouge marqué « stop » dont chacun devrait pouvoir disposer. Mais c’est un autre débat.