Comme par exemple en Amazonie, ou le savoir des populations locales est pillés sans contrepartie, et les plantes brevetées par des multinationales pharmaceutiques et cosmétiques, cela existe aussi chez nous.
Cela s’appelle de la biopiraterie, avec la complicité de l’état qui légifère.
Mais l’état préfère protéger les intérêts des artistes et des multinationales, souvenez-vous les pirates c’est nous quand on télécharge des films ou de la musique, mais également lorsqu’on « pille » des ressources naturelles....
Ou l’art d’inverser les rôles...