On trouve toujours plus cruel que soit pour justifier ses propres turpitudes.
Alors d’accord, entre deux maux choisissons le moindre.
Dénoncer l’industrialisation pour mieux encenser l’élevage « à la papa » est un peu tiré par les cheveux. Les marchés à bestiaux de nos belles campagnes offrent leurs lots de sadisme et de cruauté qui n’ont rien à « envier » à l’industrie.
Mais bon si l’Angleterre a su abolir la chasse à courre, tout n’est pas désespéré.
Nous sommes en train de sortir de la barbarie, de la guerre entre terriens. Cela prendra encore des années mais les progrès sont visibles.
Le spécisme est une notion encore trop récente et mal comprise, y compris par l’auteur de cet article. Mais je crois qu’il est sur le bon chemin ;o)