Salut vieille Buse, t’es toujours en train de hanter les lieux en tentant de débusquer les perdrix qui sortent du bois en lâchant des bouses fumantes au dessus de ta tête de faucon. Faudrait que tu prennes la peine de délaisse tes ornières pour mieux voir les lignes d’horizons au delà desquelles la vérité t’échappe infiniment sans que tu puisses jamais t’en approcher.