Il est plus que temps d’arrêter de voir les choses sous l’angle : mettons un zest d’humanité dans le travail et congratulons nous en jugeant que c’est efficace car les humains se sentent un peu mieux dans le moule productiviste et produisent plus. Il y a un besoin urgent et immense de démocratie (réelle, c’est à dire directe) tant en politique que dans l’entreprise, les choix de société doivent être les notres. Nous sommes face à une crise civilisationnelle, 300 personnes possèdent 50% des richesses de la planète, la moitié de la planète ne mange pas à sa faim, et ce n’est pas un gouvernement mondial centralisé et verticaliste qui changera la donne.