Morice a raison. N’oublions pas que Séguin est également l’homme qui a, d’une certaine façon, mis à Sarkozy le pied décisif à l’étrier alors que ce même Sarkozy n’a jamais eu (comme Pécresse) une once de fibre sociale. On touche d’ailleurs là l’un des côtés les plus ambigüs de Séguin, l’homme qui a parfois abandonné en rase campagne ses idées et ses amis politiques (autre exemple : la campagne électorale parisienne). A cet égard, le commentaire de Catherine Nay, grande supportice de la droite dans les médias, est assez juste : elle a qualifié Séguin de « bizarre » !