Un grand merci, Armand, pour ces précisions historiques particulièrement intéressantes et pour ces références bibliographiques.
Le fait est que les « bouchers » étaient plus employés alors pour l’image qu’ils véhiculaient que pour leur propension réelle au combat. Ils jouaient d’ailleurs parfois à effaroucher les bourgeoises qui s’aventuraient jusqu’à La Villette (plus tard à Vaugirard) pour boire du sang frais d’animal comme elles s’encanaillaient dans certains bals populaires pour se frotter à des populations interlopes.
Bonne journée.