Vous posez bien le problème, Bruxman.
Hormis la sottise suivante :
"En fait, il y a fort à parier que le simple fait d’abandonner sa
monnaie et de la remplacer par l’euro va occasionner des économies qui
compenseront cette perte." Vous voules parlez d’économie d’emplois, sans doute ?
Cette histoire me fait surtout penser à la thèse de Jorion où
reconnaissance de dettes ne vaut pas monnaie. Puisque les états anglais
et néerlandais ont déjà renfloué leurs épargnants lésés, il a une fois
de plus tord.
Où sont les libéraux qui proclament qu’une banque peut faire faillite et ses clients en assumer les conséquences ?