Bonjour, Paul.
En l’état actuel des choses, Guillon ne risque pas grand chose, et il le sait parfaitement.
De même, il n’est probablement pas « penaud » du tout, mais conforté dans l’idée qu’il se fait des limites de son exercice de « bouffon » car sauf à être complètement mégalo, il est peu probable qu’il se prenne pour un éditorialiste.
Sur un autre plan et je parle là à titre personnel, je trouve dommage que Guillon, souvent très pertinent sur le fond, soit si mauvais dans la forme.