@ Laurenzola,
Dans le film, la musique est le vecteur énergétique.
Cependant, pour moi comme pour vous je présume,
l’oeuvre de Milos Forman va beaucoup plus loin.
A. Saliéri nous parle de l’homme prisonnier de la matière.
Se hisser dans l’intemporel pour partager le divin est psychotique.
A. Saliéri entre dans la schizophrénie.
Mozart est une nature hybride, un homme-Dieu.
L’intensité de sa vie spirituelle ruine sa vie humaine.
Mozart périt à 35 ans.
L’intensité de sa vie spirituelle met un terme à sa vie humaine.
Une fois de plus, je reprend la métaphore de la phalène.
Elle entre dans le divin en traversant la flamme Dieu.
Elle en perd la vie.
Au fond, ces deux personnages connaissent un sort semblable.
Une synthèse des deux serait peut être une solution...