Nous sommes si éloignés de ce qu’on pourrait nommer « un mode de vie compatible avec la planète » qu’il est difficle d’imaginer comment ce fossé sera comblé.
De plus, cette volonté existe-t-elle suffisamment pour infléchir les évolutions ?
A quels avantages sommes-nous prêts à renoncer ?
Serons-nous capables de revoir nos valeurs et nos priorités ?
Quels budgets sont induits par ces pistes « uto » et pour les dégager, à quelles dépenses « inutiles » devra-t-on renoncer ? (il y en a, si, si...)
Ceux qui sont au pouvoir, entourés par des affairistes viellissants et vénaux qui les sponsorisent auront-ils le courage fou de s’affranchir de leur intérêt personnel pour privilégier celui du collectif en s’attaquant aux INEGALITES ?
C’est vers une nuit du 4 août bis qu’il faudrait aller. Quand les privilégiés ont initié l’abandon de LEURS privilèges et que les plus aisés ont célébré l’Egalité dans un élan quasi-mystique. On en est loin. A moins que la pression populaire, argumentée et résolue ne naisse d’une prise de conscience large et profonde.
Encore de l’utopie...