Je croyais avoir lu que le financement des projets pharaoniques de Dubai n’avait pas spécialement (en tout cas pas seulement) à voir avec la « finance islamique », puisque les banques européennes y étaient liées, et touchées par la faillite.
La quasi-banqueroute de l’émirat affole les Bourses européennes, qui ont
connu hier leur chute la plus sévère depuis des mois : Paris a baissé
de 3,41%, Londres de 3,18… Les banques européennes exposées à la dette
de Dubaï - comme la Société générale, BNP-Paribas, le Crédit agricole et
HSBC - ont souffert.
Peut-être l’auteur pourrait-il nous préciser la part des banques européennes dans le financement (et la tentative de spéculation) des investissements de Dubai ?