1) La peur doit changer de camp.
Pour l’instant ce sont la classe dominante et la classe politique
dirigeante (UMP et PS) qui plongent une fraction large du peuple dans
l’insécurité économique donc la fragilisation de ceux d’en-bas. Ce sont
eux qui sème peur, harcèlement, oppression et domination. Venant
d’en-bas il y a plus de suicides et de voitures brûlées que de meutres.
Arrêtez de vous faire peur avant que cela arrive. Car cela peut
arriver ! Il suffit de continuer la politique qui enrichie les riches et
appauvrie tous les autres.
2) Il y a les partenaires et les ennemis c’est ainsi.
Le partenaire ce peut être le supérieur hiérarchique qui a obtenu son
poste en fonction d’une qualification via un système méritocratique
républicain L’ennemi participe consciemment de la baisse des salaires,
de l’augmentation de l’intesité du travail, de sa durée, de sa non
répartition avec ceux qui n’en n’ont pas ou trop. L’ennemi c’est celui
qui voit la crise monter en charge destructrice des protections
sociales se propose de taper encore plus fort contre les travailleurs,
les précaires et les chômeurs. Refuser le masochismùe est salutaire.
Le comble ici, c’est que ce dominant cherche encore à obtenir un
sourir, un consentement. Mon rôle consiste à dire stop à cette
aliénation. Il faut se lever, refuser la domination, eclencher la force
d’émancipation qui est en nous et avec d’autres.