bonjour olivier
bien plaisant ton article, pose bien la limite qui sera toujours la notre, de tout connaitre.
Edgard Morin explique très bien cela en parlant de ce magasin de la méconnaissance d’où nous retirons notre savoir.
notre vie comme celle d’un pendule ne tient qu’a l’existence du clou qui le suspend, nous pouvons le pressentir, mais nous n’y aurons jamais accés sinon nous ne serions plus le pendule. il y avait l’affaire du petit trianon ou des visiteurs se sont vu transportés dans le passé.
je pense qu’il y a des réponses a ces perceptions, notre « construction » n’est pas parfaite, et inclu sa malléabilité en plus de ses défauts de fabrications, toutes les ondes que nous émétons se propgent puisque nous ne sommes fait que de cela, alors est-ce que certaine nous reviennent en s’étant réfléchit quelque par dans l’univers, telle est là question.
cordialement.