Merci à vous, Pigripi, de nous avoir informé de cette lamentable carence d’un service public à vocation humanitaire par nature.
Ce n’est, hélas ! qu’une illustration supplémentaire de la dérive des pouvoirs publics qui subordonnent désormais toute leur action et tous leurs objectifs à la seule logique comptable. Y compris en jetant à la rue un homme en phase terminale de la maladie. C’est indigne et scandaleux !
Espérons que la médiatisation de cette affaire permettra à cet homme de bnéficier des soins que son état nécessite. Mais que se passera-t-il pour le prochain ?
Bonne journée.