Si vous prenez la peine de relire le ’papier’ au-dessus, vous constaterez que son fil directeur est la communication en terme de sécurité routière. Celle-ci raisonne autour de deux axes. Le premier axe tourne autour du rapport entre peine et faute (ou erreur/réparation), d’autre part en terme de symbole. C’est ce dernier point qui m’intéresse. Car il n’y a pas que les symboles que l’on essaie péniblement de forger. L’accident de Hal fait exploser à mon sens des mois de travail...
Maintenant, si vous voulez démonter le mythe d’un bien absolu d’une privatisation, libre à vous. Je ne suis pas totalement éloigné de votre opinion. Mais le problème est visiblement plus complexe (monopole / concurrence).