L’on sent dans votre description de la déesse, quelque chose de féminin, de sensuel et confortable et douillet, du moelleux duvet, du bullé champagne, de la souplesse et de l’amorti...c’est vrai, dans la déesse, l’on était comme dans son lit, sans chocs intempestifs, sans bousculades maladroites, que des mouvements harmonieux et équilibrés. De la guimauve, du caramel mou, du subtil, du féminin. Que des rondeurs à effleurer d’un doigt pour la faire se cabrer...bon j’arrête, c’est trop.
Il n’y a que les êtres sensibles qui comprennent cela, merci à vous.