Le système financier, tel qu’il existe depuis 1973, EST, par définition, meurtrier.
En laissant tout le pouvoir (de création monétaire) aux banques, et en livrant les bourses à la spéculation (hedge funds et autres), il a mis le monde en coupe réglée, dominant totalement l’économie, asservissant le pouvoir politique, supprimant toute possibilité démocratique en livrant les états, les citoyens, les fruits des richesses produites, les matières premières, les services, pieds et poings liés à une mafia de décideurs non-élus, se cooptant entre eux, , n’ayant de compte à rendre à personne, n’étant sous le coup d’aucune règle, d’aucune loi.
Il ne s’agit de rien d’autre que la pire dictature jamais établie, puisqu’à l’échelle planétaire.
Toutes ces mafias ; banques, compagnies d’assurances, hedge funds, agences de « cotation » sont des organismes privés, dont, comme tout organisme privé, le seul but est de gagner de l’argent, quels que soient les moyens à employer pour y arriver.
Ils ne sont, répétons le, régis par aucune loi, si ce n’est celle du plus fort.
Leurs moyens sont, forcément, des moyens de coercition exercés contre l’ensemble des institutions, organisations, pays, citoyens du monde, sans qu’aucune sanction ne les menace , quels que soient les abus qu’ils puissent commettre.
Au contraire, les états, tenus à la gorge par la nécessité de l’argent pour vivre, sont obligés de les renflouer, en cas de crise, comme on vient de le voir.
La pieuvre mafieuse étend ses pseudopodes sur la planète, et provoque, forcément, la précarisation, la misère, la famine, la mort.