Ali Soumaré :
« En effet, il y a une affaire qui remonte à 1999, qui est désormais prescrite. C’est une erreur de jeunesse dont j’ai tiré les conséquences. J’ai même eu un déclic à ce moment-là. J’ai payé ma dette. Cela a nourri mon engagement, notamment dans le monde associatif et dans toutes mes actions à Villiers-le-Bel. Je sais ce que j’ai fait à cette époque-là, mais cela ne leur donne pas le droit de rajouter, onze ans après, un autre passé judiciaire qui, celui-là, ne m’appartient pas. Ces accusations sont en train de salir tout le reste de mon engagement et c’est inacceptable. »
Ce n’est pas simplement une information extorquée, c’est aussi une information manipulée ou non contrôlée : le multi-récidivisme attribué à Ali Soumaré est le fait d’un homonyme. Les accusateurs ont donc commis 2 délits :
- accès et divulgation d’informations illégaux
- diffamation (la bonne foi pouvant difficilement être invoquée puisqu’il l’intention est de nuire)
A partir de là, il ne reste plus qu’une erreur de jeunesse, l’exploiter de la sorte c’est nier aux jeunes qui ont fauté la possibilité d’un avenir normal.