A nouveau, mon propos est précisément de ne pas biaiser en choisissant : il est plus riche de montrer le puzzle.
J’ai ensuite fait le choix de m’arrêter à septembre 2008, moment de l’éclatement de la crise. J’aurai pu continuer - je le ferai peut-être -, et alors les propos de Mme Lagarde seront peut-être repris (je m’appuie sur les articles mis en avant par le Monde)