@ Internaute.
Vous confondez l’aide apportée à un clandestin qui veut coûte que coûte vivre en France et l’accès de l’un de ses enfants à une pratique sportive.
Je peux comprendre votre position concernant le premier, certainement pas pour le gamin auquel il est tout aussi choquant de refuser l’accès à un club qu’à une école. Et « l’appel d’air », très largement dénoncé par de nombreux responsables poltiques, ne peut se faire qu’au travers de la situation des adultes, certainement pas de celle des enfants.