Frabri,
quand un français a faim, il ne se pose pas la question de savoir le pourcentage des affamés qu’il représente.
il a besoin de remplir son assiette.
imaginez une ville de deux millions d’habitants qui ne mange pas à sa faim.
quelle conclusion en tirez vous ?
et imaginez quel serait le nombre des affamés si Coluche n’avait pas crée, il y a si longtemps, les restos du coeur.
au passage, je crois me souvenir qu’il avait demandé que ces restos soient relayés au bout d’un an par le gouvernement.
on attend toujours.