Non seulement je veux qu’on ait la peau des maison de disques, mais je suis en plus intimement persuadé que la musique y récupèrerait ses lettres de noblesse, et sortirait du carcans marketing actuel de la rentabilité à tout prix, et de l’exploitation massive de la rareté. Le marché n’est pas la réponse raisonnable à la diversité culturelle, la passion si, à travers des millions de citoyens.