Bien avant l’existence du net, j’avais révé et souhaité l’apparition d’un journal dont l’intégralité des articles seraient de la main des lecteurs, et ceci répondant à un intéret personnel pour l’avis du plus grand nombre.
Je ne sais pas combien de rédacteurs il y a et encore plus combien d’intervenants, mais j’avoue passer de longs moments, souvent plus à lire les réactions à un article qu’à cet article lui même.
Bien sûr j’apprécie les réactions raisonnées, posées...
mais les coups de gueule ne me déplaisent pas, et je les estime salutaires parfois.
Alors quelque soit la forme et souvent quelque soit le fond, je suis satisfait de la formule actuelle et je demande qu’elle perdure.
Celà constitue un intérêt sociologique certain.