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fourreau 18 mars 2010 15:13

Racisme ordinaire ou institué ?
1.- Un africain, inventeur génial, porte plainte pour contrefaçon. Arrive le jour de l’audience de plaidoirie. Le tribunal de la 3e chambre civile ouvre les débats en reprochant son avocat blanc de ne pas avoir encore communiqué toutes les preuves indispensables...
Le tribunal : Maître, vous ne nous avez toujours pas fait parvenir les preuves de contrefaçon décrites dans vos écritures. (cette plainte ne peut exister que par une contrefaçon réelle et vérifiable et la contrefaçon est sur internet)
L’avocat (se levant) : j’ai les documents avec moi. Il commence par montrer les inventions de l’africain et les titres INPI de protection correspondants. Et il se sert de ces mêmes titres comme preuves de contrefaçon.
Les juges éclatent de rire. (un sombre idiot ne serait même pas parvenu à une telle absurdité)
L’inventeur se lève et prend le dossier de mes mains de l’avocat pour rechercher les documents. Aucune trace de preuves. Heureusement qu’il a sur les doubles des pièces. Il en extrait les dites preuves authentiques et les tend à l’avocat.
L’avocat : C’est pas ça ! (en vociférant si fort que les juges se croient dans un cirque. Et il ne s’en saisit pas)
Il se rassoit
Le tribunal est outré.(ces preuves sont sur le net et connues des juges, décrites dans la plainte, déclarées en annexe mais formellement envoyées)
Ces preuves sont des images multiples et complexes. Pour les apprécier, il faut s’en saisir et prendre le temps d’en connaître le contenu. Or l’avocat ne fait aucun de ces gestes. Il les a vu de loin et les a rejetées !
Les juges ne peuvent l’admettre.
La 1e vice-présidente prend la parole : Je vous en prie, maître, veuillez poursuivre.
L’avocat ne se lève pas ! Car l’invitation du tribunal implique de se saisir des pièces données par son client.
Le tribunal est encore plus outré.
La 1e vice-présidente reprend la parole : Maître, veuillez poursuivre
L’avocat : on m’a pourtant fait croire que c’était ces documents-là. ( l’avocat traite de cette affaire depuis 13 mois, entendez par-là moi client étant africain, il doit être soupçonné d’être une crapule sans vergogne capable d’abuser un grand avocat).
Le tribunal n’en peut plus !
La 2e vice-présidente : Maître, vous voulez dire que vous renoncez aux accusations sur les dessins et modèles ?
L’avocat OUI, EN EFFET JE RENONCE !

La suite est ici : http://0z.fr/frA_0


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