Tout à fait d’accord avec vous morice.
J’ai lu son bouquin « Pour une parcelle de gloire » et me souviens avoir été scandalisé par son mépris total de la vie humaine. Pour lui, les troufions n’étaient que de la chair à mines ou à canons pour la gloire de leurs chefs. J’avais été particulièrement horrifié de lire qu’il appelait les soldats « des outils ».
Rendre hommage à ce sinistre individu est représentatif de la déliquescence des valeurs de l’humanité.