La démocratie n’est pas laxiste ; elle est vulnérable.
L’impossibilité de réformer ne résulte donc pas de « son laxisme », mais d’un autre phénomène qui est probablement le vieillissement inexorable de la population.
Une personne âgée a peur des changements ; elle a un esprit conservateur contrairement au jeune qui est ouvert aux nouveautés. On peut voir les choses de cette façon.
Mais les réformes dont vous parlez, où sont-elles ? Les gens, même les jeunes, n’ont jamais vu de réformes ; ils n’ont vu que des entreprises de destruction pour écraser les humbles et fortifier les puissants.