Si la France va mal, c’est justement parce que ces sociétés refusent de partager leurs bénéfices. Contrairement à ce que l’on nous assène, ces entreprises sont le poumon de l’économie, et non les PME. Si les grands groupes redistribuaient à leur centaines de milliers de salariés une partie de leurs profits, l’effet sur l’économie nationale ne saurait passer inaperçu.
Mais pour leurs dirigeants, il est bien plus profitable d’augmenter les dividendes des actions, pour faire monter le cours de l’action... et donc la valeur des stock-options !