covadonga,
j’ai appris çà,
les gendarmes se mettent à faire de la poésie,
bon, y a du travail,
parce que les larmes qui pleurent sous les képis, l’image est forte, mais quelque peu désuète,
et les rimes ne sont plus ce qu’elles étaient,
faut quand même saluer ce courage, car pour soutenir un collègue suspendu, prendre le risque d’être suspendu à son tour mérite un coup de chapeau,
euh...un coup de képi...