Vous ne regrettez aucune de vos décisions, tant mieux. Mais moi ce que je regrette, c’est qu’on vous ai donné la permission de prendre ces décisions. Le jour où vous vous rendrez compte de ce qui est fait de vos décisions, de ce qu’elles entraînent pour l’être humain « traité », peut-être tomberez-vous de haut.