La prostitution est une phénomène - le mot est mal choisi, mais ce serait un autre débat - absolument universel. Elles n’est elle-même qu’une variante d’un rapport de forces qui se manifeste comme la résultante d’une myriades de facteurs sociaux et psychologiques.
On ne peut pas parler d’UNE prostitution, mais d’une composante « prostitution » présente dans tous les rapports humains et dont l’amplitude dépend uniquement du sens large ou restreint que vous lui donnez.
Ajoutez la variable culturelle - la prostitution dans un village hondurien n’a rien à voir quant à ses effets avec celle de St Pauli ou d’Amsterdam - et vous comprendrez que, de tous les sujets que l’on touche sur ce site, celui-la est peut être celui dont l’on parle avec le plus de préjugés et la plus crasse ignorance.
Vous me pardonnerez de ne rien ajouter et de vous renvoyer vers un pur non sequitur.
Pierre JC Allard