Votre article montre bien l’impasse dans laquelle nous sommes.
Vos propositions ressemblent, cabinets de groupe public mis à part, avec les modalité de la médecine généraliste en Grande Bretagne. Les médecins y sont en effet salariés, compté comme des agents publics et ils ne semblent pas mal vivre (voir les travaux de Béatrice d’Intignano).
Toutefois le financement globalement est à peu près au même niveau que la médecine soit « libérale » et remboursée en partie (70%) par la sécu ou complètement prise en charge par la sécu ou un autre dispositif.
La question est le nombre de médecin, et là il faut de l’ordre de 10 ans pour voir les sffets une fois que l’on aura augmenté les quotas.
Donc patience et en attendant ne pas tomber malade ?