J’essaie de souligner les effets subjectifs que cette fiction convoque chez le public. A ce que j’ai compris, en discutant avec ceux qui avaient lu le livre, ces effets seraient moindre dans le roman. Suis-je capable d’assumer ma condition de coupable ? Le héros véritable ne serait-il pas celui qui peut regarder sa honte en face et l’assumer ?
Plus largement, c’est un peu de mon inquiétude qui passe : vivons-nous à présent dans un monde qui voit l’héroïsme chez celui qui sacrifie les autres pour son confort ? - car j’ai été frappé d’entendre tellement de personnes m’assurer que cette fin est optimiste.