Il me semble qu’il y a aussi du Mozart (de mémoire).
Sur le film, je ne saurais exprimer mieux que vous ses qualités et trouver les mots justes tant j’ai été bouleversé : en sortant de la salle (pourtant mochement multiplexée et antipoétique au possible) j’avais l’impression que ce film m’avait changé et avait fait de moi un homme meilleur (rassurez vous : les effets secondaires se dissipent rapidement).
Personnellement, cette expérience fut un prolongement de la réflexion qui avait germée après le visionage de La Ligne Rouge, autour du sens de l’existence, du lien perdu à la nature, et autres stupidités qui me préoccupent.