Que veux-tu, Petit Milicien, ils n’ont pas voulu m’exterminer pour l’instant.
Je n’ai pas demandé de traitement spécial, pourtant. Depuis le temps que je lis des horreurs.
Sur ton adieu que j’ai lu, tu fantasmes gentiment. Tu ne sais rien que ton maître Morice ne t’ait inculqué, c’est ton problème.
Moi, plus que jamais, j’aime Israël.
Bon vent, belle vie.