Fergus
Des Algériens avaient décidé,
ou peut être étaient-ils contraints, de venir s’installer en France.
Pour ceux là, parmi les plus
modestes, comme le héros de l’histoire de P. Desproges, la vie allait
devenir difficile.
Dans les années 50 et 60 on
les nommait haineusement les crouilles, les bounioulles, les ratons, les
meulons...ect...
Dans leur pays d’origine, ils
étaient des traitres en danger de mort, dans notre pays, profondément
méprisés.
On aimerait bien maintenant
qu’ils rangent leurs couteaux, leurs insultes et leurs violences,
qu’ils arrêtent d’incendier des véhicules, de détruire et de lapider
comme leurs ancêtres de l’ancien testament. Nous voudrions tout à coup
qu’ils retrouvent la discrétion, la patience, l’humilité et la
gentillesse de leurs grand-pères.
Nous sommes en deux mots dans
une Relation à
front renversé...depuis
toujours.