Les offensives allemandes du printemps 1918 sont un « suprême effort » pour changer le cours de la guerre. Malgré une forte poussée initiale en avril - mai elles sont contenues en juin puis repoussées en juillet. Les allemands sont à bout de forces et de ressources, la population et même les troupes ont faim, les soldats sont épuisés, ils n’ont plus assez de munitions. Le blocus a fait son oeuvre et la situation n’a plus rien à voir avec celle de 1914. Une brigade des marines américain est engagée à Bois-Belleau.
La contre-offensive est irrésistible, les alliés disposent de plus de mille chars et de centaines d’avions.