J’apprécie moi aussi Maurice André, pour ses qualités d’instrumentiste bien sûr, mais surtout pour la modestie qu’il a su garder tout au long de sa vie et en dépit de son immense succès, lui l’ancien gamin descendu travailler dans les mines des Cévennes. Une attitude dont devait s’inspirer beaucoup d’autres qui ne lui arrivent pas à la cheville.
Pour le plaisir, Maurice André dans le premier mouvement de deux des plus beaux concertos pour trompette, celui de Hummel et celui de Haydn (en espérant que ces liens fonctionnent !)
Bonne nuit, Capitaine.