Oui, monsieur Bonafi :
« Que leurs gouvernants sont, au mieux, des exécutants de la grande finance, voire même des figurants, des fusibles ».
Il faut le dire et le redire et le redire encore jusqu’à ce que la majorité comprenne que le combat bi-partiste (UMP vs PS) est un leurre puisqu’il permet seulement de créer une illusion de démocratie, alors qu’il ne nous offre un choix qu’entre 2 pantins de toute façon préalablement cooptés par les cénacles qui dirigent le monde (Bilderberg, Trilaterale, CFR, ...)
DSK, Cope, ...jusqu’à Manuel Valls (voir détail dans le MESSAGE N° 8 du forum LE SILENCE DES LOUPS (Décryptage d’un monde interdit aux moins de 16 dents)
et oui encore monsieur Bonafi :
« Les lois se durcissent partout et la démocratie est aujourd’hui en danger ».
Il faut rompre le mécanisme avant de n’avoir plus aucune prise sur cette gouvernance mondiale qui met en place tous les outils sécuritaire de contrôle des individus
-flicage : mail, internet, réseau sociaux, bientôt le vote électronique ?
-pistage : GPS voiture + téléphone + caméscope, caméras surveillance + bientôt la puce RFID
-traçabilité : monnaie électronique = qui achète quoi, où et à quel instant..., compteur EDF électronique, ...
Le diagnostic de la gouvernance entre les mains d’un cénacle de « Banksters » a été posé (depuis plus d’un an) et argumenté de façon très factuelle par l’auteur du forum :
LE SILENCE DES LOUPS (Décryptage d’un monde interdit aux moins de 16 dents)
Sa pensée, que je partage, se résume ainsi :
"Je suis parti d’un constat : les politiques et les journalistes,
pourtant friands de sujets polémiques, n’évoquent jamais certains
thèmes se rapportant à l’emprise du monde financier sur la gouvernance
de la planète.
Les Etats, les entreprises et les particuliers sont soumis, de
manière directe et indirecte, à une forme d’impôt scélérat et se voient
contraints de verser une sorte de dîme permanente au monde de la
finance.
Le caractère « systémique » et pyramidal de l’endettement des
Nations permet à un cénacle de « banksters » de s’emparer
progressivement d’une part toujours plus grande des richesses
produites.
Tels des parasites aliénant leurs proies."
"Le combat que nous devons à présent mener, c’est celui d’une
Démocratie atrophiée contre un système tenu par des financiers
omnipotents, qui tiennent la bride serrée sur l’essentiel des Media et
des Politiques.«
D’ailleurs, monsieur Bonafi, le graphique que vous utilisez pour démontrer l’interconnexion européenne des dettes, a été déjà commenté dans un
Message posté le : le 03-05-2010 19:38:01
Plus on est de »porte-parole" de la réalité, plus la propagande recule.