Emile,
Une question.
Votre athéisme n’est-il pas aussi une forme de croyance à laquelle vous êtes vigoureusement attaché. ?
L’athéisme ne peut-il pas également être le reflet d’une peur de la vie et des souffrances qui lui sont inhérentes ? Une forme de fatalisme en fait ?
Enfin, que pensez-vous des quelques ascètes qui vivent effectivement à l’écart de tout, qui sont profondément croyants et qui se dédient à une recherche, une réflexion infinie ? Ils ont l’air seuls, mais dans l’absolu, le sont-ils vraiment ? Je ne le crois pas, pas plus que perdus.