Et si c’était l’anglais qui n’était pas adapté à la communication internationale, du fait de sa phonétique irrationnelle ? Si c’était un appareil, il y a longtemps que des tests comparatifs type « Que choisir » auraient conclu à son faible rapport temps/résultats, à son échec mondial malgré les incroyables investissements en temps, cerveau et argent de nombreux pays, y compris le nôtre. Mais voilà, c’est aussi de la poltiique et des intérêts économiques...